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Auteur Sujet: Interprétation transactionnelle, vs copenhaguisme.  (Lu 3585 fois)

JacquesL

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Interprétation transactionnelle, vs copenhaguisme.
« le: 09 août 2010, 02:24:03 pm »
Citation de: Sneutrino;3117472
Il me semble que depuis les année 80 on sait qu'il n'y a pas de variable cachée et que la fonction d'onde n'est plus une densité de probabilité de présence mais décrit la particule, je veut dire qu'on considère que la fonction d'onde est la particule. Du coup l'électron n'a plus une place aléatoire dans l'atome.

Fais gaffe à la grammaire ! Bon sang !

Sur le fond.
Non, il est faux que depuis les années 80 "on sait"...
Car cette connaissance est très minoritaire, et violemment réprimée. John Cramer n'a publié qu'en 1986, et est systématiquement ignoré par l'accablante majorité.

Le reste du monde répète docilement les fables copenhaguistes en "Aspects corpusculaires ! Quand même un peu corpuscule ! Tantôt corpuscule ! Probabilité d'apparition du corpuscule et de la vierge à Fatima ! Cruelle incertitude et Heisenberg est son Prophète ! Mais c'est vrai ! Croyez-le mes enfants ! De toutes façons, si vous n'y croyez pas, vous serez excommunié à votre examen ! ..."

Ensuite il est faux, vraiment faux, que la "fonction d'onde" de l'enseignement majoritaire décrive la "particule". Seule la loi d'évolution est commune avec la loi physique réelle. Ce que eux ils écrivent, est l'évolution de la connaissance qu'en conserve le physicien, quand il fait l'hypothèse qu'il connaît l'émetteur, et qu'il refuse de faire des hypothèses similaires, mais tout aussi indispensables, sur l'absorbeur. En physique réelle, l'absorbeur joue exactement autant de rôle causal que l'émetteur. Mais comme l'a déjà expliqué Bernard Chaverondier sur ce même support (FS) où je suis violemment censuré, aussi bien les théorèmes de Shannon que ceux d'Ashby mettent un terme aux rêves panoptiques : les conditions réelles du bruit de fond broglien, et des conditions d'avortement ou de réussite des tentatives de poignée de main entre absorbeur et émetteur, nous resteront à jamais inaccessibles.

Et on ne peut pas outrepasser la malédiction des astronomes (pour ne parler que d'eux) : Les émetteurs sont chauds et évidents (étoiles, phares, canons à électrons...), les absorbeurs sont discrets et incontrôlables, voire inaccessibles dans le noir du ciel.
Lien : http://deonto-ethics.org/quantic/index.php?title=Emetteurs_chauds_et_%C3%A9vidents%2C_absorbeurs_discrets_et_incontr%C3%B4lables

C'est ainsi que la méchante Nature a méchamment conspiré contre le discernement des théoriciens...

Non censuré à :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?topic=1285.0
et surtout à :
http://deonto-ethics.org/quantic/index.php?title=Interpr%C3%A9tation_transactionnelle
« Modifié: 17 décembre 2012, 10:57:24 am par JacquesL »

JacquesL

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Albert Einstein 1916 : Quantentheorie der Strahlung
« Réponse #1 le: 17 décembre 2012, 11:01:30 am »
Première source historique de la TIQM (Interprétation Transactionnelle de la Quantique), en vrai, mais pas ou peu exploitée jusqu'à présent, deux articles de 1916 sont à considérer :
Strahlungs-emission und -absorption nach der Quantentheorie, paru dans Verhandlungen der Deutschen Physikalischen Gesellschaft, 18, 318–323
Quantentheorie der Strahlung, paru dans Mitteilungen der Physikalischen Gesellschaft, Zürich, 16, 47–62
Republié en 1917 dans Physikalische Zeitschrift, 18, 121–128

Einstein y démontre que le spectre du corps noir tel que démontré théoriquement par Max Planck, et surtout la mécanique statistique des gaz de Clerk Maxwell en présence de rayonnement thermique à l'équilibre, exigent que chaque photon transporte non seulement de l'énergie, mais aussi une quantité de mouvement, dans une direction définie. Il n'y a pas, à l'échelle photonique, de rayonnement isotrope, ni ayant la plus petite approximation en ce sens.
Ce qui ruinait d'avance les idéations ultérieures des copenhaguistes avec "onde de probabilité" dans toutes les directions, mystérieusement suivie après d'une "réduction du paquet d'onde", une confusion systématique entre le phénomène physique et le renseignement que nous animaux macroscopiques, avons sur lui.

A présent que nous avons davantage d'expérience en radio-électricité qu'il n'était d'usage en 1916, on peut préciser à quoi de macroscopique s'opposait la découverte d'Einstein :
En acoustique, l'onde à propagation sphérique est expérimentée à chaque détonation de mine ou grenade sous-marine. Divergente dans ces cas là. A Los Alamos, ils ont eu à synchroniser une onde à propagation sphérique convergente, une implosion, pour amorcer la bombe au plutonium.

En électromagnétisme, l'onde sphérique est impossible : elle violerait les conditions de polarisation (voir le théorème des hérissons : il est impossible de peigner intégralement une sphère). En polarisation rectiligne, telle qu'on l'obtient en vertical avec une antenne fouet, en horizontal avec un seul brin d'une Yagi, le lobe d'émission est toroïdal autour de l'axe d'antenne, compte-non tenu des interférences avec la Terre. Il faut renforcer une direction par plusieurs brins résonnants de Yagi pour obtenir une émission (ou une réception aussi bien) plus directionnelle. Ou câbles verticaux alignés, avec alimentations à déphasages conrôlés, pour de la radiodiffusion vers une cible géographique définie.
En pôlarisation circulaire, on peut obtenir directement des lobes directionnels mieux définis avec une direction avant et une direction arrière. Cela peut se faire avec un cadre bobiné et une ferrite, ou des déphasages entre brins.

La découverte d'Einstein établissait une différence majeure dans le monde microphysique : il n'y a pas de diffusion isotrope, ni même à direction diffuse. Tout photon a une seule direction, un seul émetteur, un seul destinataire, qui reçoit toute la quantité de mouvement correspondant à l'énergie du photon, prise dans son repère.

Or nous avons vu plus haut, en étudiant les installations de radiodiffusion telles qu'elles fonctionnent, qu'il faut se donner beaucoup de mal, et occuper pas mal d'espace au sol (plusieurs fois la longueur d'onde), pour réussir à émettre de façon vaguement directionnelle en grandes ondes et en ondes moyennes, voire en ondes courtes aussi. On n'a pu obtenir la directivité voulue en radar qu'en réduisant la longueur d'onde à moins de dix fois le diamètre de l'antenne. Oui à la fin de la seconde guerre mondiale, il y a eu des radars en ondes centimétriques (9,1 cm), embarqués sur des avions, mais surtout sur des bimoteurs ou quadrimoteurs anti-sous-marins (Sunderlands, Liberators), qui parfois portaient aussi un canon de 75 mm.

La comparaison est éloquente entre deux versions successives du Wellington de patrouille anti-sousmarine, version avec radar métrique ([tex]\lambda[/tex] = 1,7 m), puis en centimétrique,  ([tex]\lambda[/tex] = 9,1 cm) :





Bon, alors on fait comment pour obtenir de la directivité à partir d'un atome plus petit qu'un nanomètre, sur une radiation de lumière visible, dont la longueur d'onde est de l'ordre du demi-micromètre, soit mille à deux mille fois plus grand pour la longueur d'onde et un bon million de fois plus grand, pour le photon entier ?

Aussi longtemps qu'on veut obtenir cette directivité depuis l'émetteur tout seul, l'impasse est totale : c'est physiquement impossible. Seule la transaction entre émetteur et absorbeur peut obtenir cette directivité découverte en 1916 par Albert Einstein.

Pourquoi donc les physiciens entre 1916 et à présent n'ont pas été capables de transposer vers la microphysique les connaissances existantes en radio-électricité ? A l'exception de Louis de Broglie, mobilisé à l'émetteur de la tour Eiffel, aucun n'avait travaillé dans le domaine radio-électrique, et les connaissances disponibles ici n'ont pas percolé là...


Ceci est un extrait de la page http://www.deonto-ethics.org/quantic/index.php?title=Interprétation_transactionnelle
« Modifié: 17 décembre 2012, 05:19:13 pm par JacquesL »

JacquesL

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Liste de postulats hérités du copenhaguisme, et qu'on n'admet plus en TIQM.

Postulat anti-Broglie, anti-Schrödinger :
Négation obligatoire de tous phénomènes fréquentiels autres qu'électromagnétiques et sans masse. Négation des fréquences intrinsèques de particules avec masse.

Postulat géométrique macroscopique :
Autosimilitude de l'espace et du temps à toutes échelles, avec extrapolation illimitée, et extrapolation vers la microphysique de l'irréversibilité statistique du temps macrophysique, et extrapolation de la topologie à finesse infinie héritée des mathématiciens du 19e siècle.

Corollaire 1, de "quelque chose de très petit" :
Postulat qu'on peut toujours trouver plus petit permettant de définir qu'un truc, un électron par exemple, est "petit", corpusculaire, voire "ponctuel".

Corollaire 2, anti-absorbeurs :
Il n'y a pas d'absorbeurs en microphysique, juste de l'artillerie de corpuscules, tout comme en macrophysique.

Postulat positiviste à géométrie variable et opportuniste :
Appel systématique aux dimensions de la macrophysique, avec son "observateur", pour régir les réalités microphysiques.

Corollaire anti-Fourier :
Les coups de la "dualité" et de la cruelle incertitude de Heisenberg pour dissimuler les propriétés de la transformation de Fourier à l'échelle microphysique.

Postulat anti-ondulatoire :
Même quand on la calcule et que les chimistes s'en servent, l'onde de Schrödinger demeure fictive, dépourvue de tout sens physique, et ne sert qu'à calculer la probabilité d'apparition du corpuscule farfadique et poltergeist. Lequel est autorisé à aller explorer jusqu'au delà de la planète Jupiter dans son trajet entre le canon à électrons et l'écran cathodique ou le circuit intégré en gravure. D'ailleurs Feynman et Hawking l'ont écrit, alors...

J'en ai oublié ?

Citer
Faut-il comprendre que pour vous la dualité onde/particule est
une fiction et que tout, matière comme énergie, peut s'exprimer
en termes d'ondes, exclusivement ?

Exclusivement, à l'échelle microphysique. Du moins pour ce qui était
expérimentalement connu dans les années 1920-1940, électrons, protons,
neutrons, positrons, et qui est par conséquent amplement documenté sur
le plan expérimental. Je ne garantis rien sur la façon dont la physique
des interactions fondamentales s'écartera encore davantage des
idéations archaïques, préquantiques (genre "corpuscule").

Toutefois, l'escroquerie vient là subrepticement, en standard. "Ondes"
ne signifie pas "ondes macrophysiques", alors que eux les héritiers des
copenhaguistes enseignent systématiquement cette entourloupe. En
macrophysique, il y a de nombreux émetteurs, et des absorbeurs encore
plus nombreux, et pour des raisons statistiques évidentes, le second
principe de la thermodynamique lui est applicable. Rien de tel en
microphysique : un seul émetteur en transaction avec un seul absorbeur,
et des lois symétriques par rapport au temps. Evidemment que nous
animaux macroscopiques sommes, dans l'immense majorité des
configurations expérimentales, dans l'incapacité de prédire entre quel
émetteur et quel absorbeur la tentative de poignée de mains va aboutir,
et sommes par conséquent réduits à statistiquer. C'est inhérent à notre
sort d'animaux macroscopiques.

Citer
Qu'en est-il de l'effet photoélectrique que, jusque-là, je ne croyais
explicable qu'en termes de particules ?

Il n'y a qu'une seule demi-phrase erronée dans l'article historique
d'Einstein en 1905. Si chacun ne faisait qu'une seule demi-phrase
erronée par article, ce serait cocagne... Seul Erwin Schrödinger avait
vu la faille, en 1926-1927 ; ils lui sont tombés dessus à bras
raccourcis, jusqu'à ce qu'il se décourage et devienne improductif.

Justement, sur l'effet photo-électrique, je trouve l'explication
enseignée en standard très insatisfaisante, car elle se polarise sur
l'énergie seule, qui devrait donner des phénomènes fréquentiels nets,
avec résonances, en oubliant l'impulsion, qui elle peut donner l'effet
de seuil que l'on constate expérimentalement. Mais bon, en 1905
personne ne considérait l'impulsion d'un seul photon. La physique de
l'état solide, métallique, était encore dans les limbes. Considérer
l'impulsion non plus ne suffit pas, il faut considérer la
"concentrabilité" du photon sur une cible électronique individuelle, au
lieu de laisser régler la question par la collectivité des électrons de
conduction. Et ça, ça dépend bien de la longueur d'onde : plus c'est
petit, plus c'est concentré. Pour arracher un électron de conduction à
sa liaison métallique avec le restant du cristal, vous devez taper pas
plus grand que l'encombrement dynamique de cet électron, et lui fournir
l'énergie de libération, au moins. Comment l'excédent se répartit entre
énergie cinétique de l'électron émis, et phonons et plasmons dans le
métal, je ne sais pas.

Un peu plus de détails pages 348-354 du E. Chpolski, Physique atomique
tome 1, Ed. Mir, 1977.

Bien que je ne l'aie lu nulle part, la longueur du photon, autrement
dit sa plus ou moins bonne définition fréquentielle, doit jouer un rôle
sur le rendement de conversion photonique : à la vitesse de Fermi, un
électron de conduction est en quelque sorte une cible mobile.
En ce sens que son encombrement instantané semble sensiblement plus
court que son libre parcours moyen : quelques dizaines d'Å, contre 200
Å à la température ambiante. Un demi-ordre de grandeur.
Et le photon aussi a une durée d'arrivée, ou de transfert si vous
préférez (mais ici vue de l'absorbeur), qui est non nulle et non
négligeable.

Citer
L'électron de conduction est localisé ? Je pensais qu'il serait plutôt totalement délocalisé. J'ai un peu oublié la physique du solide, mais pour mettre en évidence les bandes d'énergie, n'utilise-t-on pas des fonctions d'ondes périodiques comme le cristal d'ions ?

En ce cas il serait impossible de définir un libre parcours, entre deux collisions, notamment avec des phonons.

Ce calcul était un de mes premiers messages ici, en août 2003.
https://groups.google.com/forum/?hl=fr&fromgroups=#!search/vitesse$20de$20Fermi$20cuivre/fr.sci.physique/VIiVve8qF60/FsB1UtTkVKAJ
Repris sans problèmes de transcodage à
http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,158.0.html

Prenons les électrons de conduction dans le cuivre :

Il est à l'énergie de Fermi, soit pour le cuivre à l’ambiante 7 éV,
donc à la vitesse de groupe de Fermi pour ces électrons de conduction :
1 570 km/s. La vitesse de phase est de 57,2 . 10^9 m/s. Sur un libre
parcours moyen de 200 Å, donc pendant une durée de 12,7 fs
(femtosecondes), l’onde de phase parcourt 0,738 mm. Tandis que la
longueur d’onde de cette phase d’électron, est d’environ 4,6 Å.
L’extension spatiale de cet électron est du même ordre de grandeur:
quelques dizaines à quelques centaines d'ångströms.

Aux extrémités de chaque propagateur, on trouve l’interaction avec le
plus souvent un phonon, ou avec une irrégularité du réseau, telles que
dislocations, lacunes et impuretés.

Donc chaque électron occupe simultanément une à plusieurs dizaines de
distances interatomiques...


Citer
totalement délocalisé. J'ai un peu oublié la physique du solide, mais
pour mettre en évidence les bandes d'énergie, n'utilise-t-on pas des
fonctions d'ondes périodiques comme le cristal d'ions ?

L'hypothèse de la délocalisation totale est pratique pour certains
calculs, qu'ils simplifient. Rien de plus. Pour devenir réaliste, elle
exige le zéro absolu, et un cristal parfait, sans impuretés en
substitution, sans intersticiels, sans lacunes, sans dislocations, sans
phonons. Hugh ! Beaucoup de conditions à réunir !

Citer
Pouvez-vous préciser comment vous interprétez les expériences
d'interférences photon par photon (ou électron par électron) ?

Rien de plus simple. Par photon (ou quanton en général), il n'existe
qu'un seul absorbeur, qui n'est pas prédictible. L'émetteur non plus
n'est pas prédictible, mais la thermodynamique et la pratique courante
de l'astronomie nous prouvent qu'ils sont plus concentrés, plus rares
et bien plus facilement identifiables par l'observateur que les
absorbeurs. Typiquement des étoiles, bien plus "petites" que l'espace
noir tout autour. Etc. pour le restant du bestiaire de l'astrophysique.

En fonction de la longueur d'onde, il est facile de calculer la largeur
du ventre du fuseau de Fermat de la propagation de ce quanton. C'est
toujours la condition de Fermat qui commande : tout le monde doit
arriver en phase à destination. A une ou plusieurs périodes près
éventuellement.
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/GEOMETRIE_infond.htm#_Toc47953041


Si c'est un électron, dans une expérience type Aharanov-Bohm, on peut
de plus insérer un fil chargé négativement, pour partager son fuseau de
propagation en deux, une moitié au dessus du solénoïde de diamètre 15
µm, l'autre moitié au dessous. Puis deux autres fils chargés, pour
refocaliser ces deux moitiés de fuseau. C'est plus raffiné que ce qu'on
faisait du temps des tétrodes et pentodes, mais l'électrostatique est
la même.


Avec les photons envoyés par laser, leur caractère bosonique encourage
à prendre des habitudes de pensée paresseuses, car là oui la phase de
faisceau a un sens. Rien de tel avec des fermions, qui au contraire
"antibunchent" ; chacun est irréductiblement individualiste. Chacun
n'interfère qu'avec lui-même par toutes les branches de trajet
accessibles. Aucun ne peut être en relation de phase avec un autre.

Quant à nous, nous ne pouvons prendre connaissance de ces interférences
que par accumulation statistique des constats impacts-absorbeurs. Alors
se dessine ce que Young et Fresnel ne connaissaient qu'en grande
population, dont on ignorait alors (1822) qu'elle était séparable en
principe.

L'existence des absorbeurs et les fuseaux de Fermat font tout ce qu'il y a à faire.
« Modifié: 29 mars 2013, 06:25:07 pm par JacquesL »