Bienvenue, Invité. Merci de vous connecter ou de vous inscrire.
Avez-vous perdu votre e-mail d'activation ?

20 avril 2024, 04:05:10 am

Login with username, password and session length

Shoutbox

Membres
Stats
  • Total des messages: 5084
  • Total des sujets: 2368
  • En ligne aujourd'hui: 15
  • Record de connexion total: 138
  • (14 novembre 2018, 09:31:35 pm)
Membres en ligne
Membres: 0
Invités: 8
Total: 8

Auteur Sujet: Ne soyez jamais le fils, le frère, le père ni le mari d'une féministe !  (Lu 2130 fois)

JacquesL

  • Administrateur
  • Membre Héroïque
  • *****
  • Messages: 4 595
Ne soyez jamais le fils, le frère, le père ni le mari d'une féministe !
Elle vous fera payer très cher le délit de masculinité, que vous
commîtes rien qu'en naissant.

La journée de la féministe est assez répétitive :
Reprendre le pouvoir, reprendre le dessus, envoyer une bordée
d'insultes, benner un tombereau de reproches, faire subir une colère,
et reprendre au début, avec des variantes quant à l'ordre des
opérations.
Ainsi l'ordre "benner un tombereau de reproches, reprendre le pouvoir,
faire subir une colère, reprendre le dessus, envoyer une bordée
d'insultes" est tout aussi valide dans l'emploi du temps de la
féministe. Et puis ça introduit de la variété.

Sur les frêles épaules de la féministe repose un apostolat harassant,
épuisant, de tous les instants, son devoir envers le Parti : ne jamais
relâcher la guerre de longue durée contre l'existence même des mâles,
ce scandale intolérable de l'existence des chromosomes XY et de la
reproduction sexuée. Ah si seulement le Créateur l'eût écoutée, il n'y
aurait que des lesbiennes dans la ville, et grâce à la parthénogenèse,
ce serait le paradis sur Terre : aucun enfant ne pourrait plus jamais
échapper à la toute-puissance matriarcale ni contracter d'autre mariage
qu'avec sa maman.

Comme la perfection n'est pas encore réalisée, il y a encore des
féministes qui pratiquent l'hétérosexualité. Toutefois, il convient
qu'elles soient très rigoureuses dans le dressage de leur mec. Il ne
sera jamais tolérable que le mec échappe à la guerre de longue durée,
ni ose développer la moindre réflexion qui échappe au sexisme misandre
victorieux. Prenons le cas des freudiens et de leur parlance
carabistouillée : le mec sera autorisé à critiquer les amphigouris
précieux de Pascal R., mais la féministe lui volera dans les plumes
s'il ose critiquer les mines entendues et supérieures de Ghislaine K.
sur telle de leurs expressions volontairement fallacieuses. Dans le
second cas, le mec est coupable de misogynie, et il faut le lui faire
payer cher.

En amours hétérosexuelles, la règle du jeu est que la somme soit
négative. Qu'importe combien la femme y perd, pourvu que l'homme y
perde davantage, qu'il n'oublie jamais que lui doit fournir tous les
services, sans jamais rien demander ni obtenir en retour. C'est elle la
maîtresse, et lui le serviteur, qui doit toujours exhiber une attitude
soumise.

La féministe choisira elle-même les peintures et papiers peints que le
mec posera chez lui : il doit poser du vieux rose dans son couloir,
afin de montrer que même chez lui, c'est encore une maison vaginale.

La féministe peut-elle être intelligente en amour, et heureuse en amour ?

Bah oui, la féministe peut faire illusion quelques jours, au mieux
quelques semaines, aussi longtemps que les hormones sont là, et lui
imposent l'intelligence de l'espèce via la stratégie de l'espèce, aussi
longtemps que les orgasmes l'inondent d'ocytocine et d'endorphines.

Mais quand l'intelligence de l'espèce perd de son emprise, nulle
intelligence ne peut prendre le relais, chez la féministe :
autoritariste née, elle ne songe plus qu'à sa guerre à mort pour le
pouvoir, tous les pouvoirs. Bien qu'il soit possible
qu'individuellement, elle ne soit  pas diagnostiquable comme
paranoïaque, elle demeure adhérente à une doctrine paranoïaque, et la
loi générale lui est collectivement applicable : les paranoïaques ne
jouissent pas, et baisent atrocement mal et le plus rarement possible,
de peur qu'une micro-parcelle de contrôle, de pouvoir et de suprématie
leur échappe.

Est-ce à dire que la féministe ne baise plus ? Bah si, à une condition :
soit que son vagabondage sexuel lui serve à dénier et humilier ses
précédents amants, rabaissés au rang d'ustensiles passés de mode ou
usés, soit que ses adultères lui servent à bafouer et humilier son
cocu. Voilà ce qu'il lui reste d'héritage de la stratégie de l'espèce,
et encore, seulement aussi longtemps que les hormones lui durent,
seulement le temps que les horloges biologiques n'aient sonné.


Variante dans l'usage d'ustensiles sur deux pieds, dont "Sporenda"
alias Isabelle Alonso s'est beaucoup vantée du temps qu'elle dirigeait
les .HyènesdeGuerre :
"Oui j'ai baisé, mais ça ne compte pas, c'était juste avec un macho qui
avait quelque chose à se prouver. Ça tombait bien, moi aussi j'ai
quelque chose à prouver..."

Sur feu le forum des .HyènesdeGuerre, la pseudo "Calixto" était fort
active, et elle était présente aussi sur feu le forum du klub S°S à
Michèle Dayras. Quelques extraits :
"C'est parce que vous êtes enceinte que vous êtes aussi illogique ?"
"Finalement, il est pas si con que ça, mon mec !".
Ah ! Magie de l'amour !
"Chez lui, il peut pisser debout tant qu'il veut, mais chez moi, il
doit pisser assis."
"Mon mec, je vais en changer. Ce n'est pas qu'on ne s'entend plus, ni
qu'on n'est plus complices, mais je ne le désire plus. Alors je vais en
changer.
- Oh oui ! Tu as raison belle Calixto ! Libérons-nous des schémas
asservissants !"

Prisonnière de ses réflexes despotiques précipités, et de son fantasme
d'omniscience innée, la féministe est totalement infoutue de
s'apercevoir à temps qu'elle n'a peut-être pas tout compris, voire rien
compris du tout, qu'il lui manque des informations, qu'il lui manque
les bases, et elle demeure totalement infoutue de demander un
complément d'informations, de demander quel est le point de vue, et
encore moins le ressenti de l'autre. Elle n'est du reste pas non plus
capable d'exprimer un "Je" suivi d'un verbe de ressenti : elle se
précipite dans l'accusation et l'agression d'autrui, c'est sa solution
universelle à toutes les difficultés de la vie.
Ce que Jacques Salomé appelle la "relation klakson" : "Tu ! Tu ! Tu !
Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! ..."

Cette pathologie peut évidemment s'exprimer par adhésion à d'autres
obédiences paranoïaques ; l'obédience féminazie, héritière des
féministes d'autrefois, n'est pas la seule sur le marché des délires
préfabriqués et des militantismes totalitaires.

Quelqu'une de ces militantes pathologiques, que j'ai dû subir durant
environ soixante ans, avait dans les années cinquante ajouté à son
misandrisme victimaire, une passion militante pour les immeubles de Le
Corbusier, et l'architecte lui-même.
L'idée de Le Corbusier à Marseille d'avoir un étage médian de services
communautaires, comprenant notamment une salle de lave-linges
communautaires, à gérer en association de copropriétaires, était dans
son principe une idée saine, et elle fut conçue en un temps où ces
machines étaient encore chères, peu répandues. Ce n'était pas encore
une production de masse pour ménages, mais ça avait pénétré le monde
professionnel, hôtels et hôpitaux par exemple, avec des machines de
taille adaptée : grosses. Finalement cette réalisation a échoué au fil
des années : la gestion associative devenant une mission impossible
dans une société non-associative et de plus en plus individualiste,
voire incivique. L'un des responsables associatifs en avait rendu
compte en termes frappants.

N'ayant jamais eu les bases en électricité ni en physique, ni en
dimensionnement de moteurs ni de machines, et ne soupçonnant rien de
son ignorance, la présomptueuse militante pathologique en question
coqueriquait ce qu'elle présumait être l'ignorance et l'illogisme des
Zautres : "Si l'électricité peut tourner pour cinq kilos de linge, elle
tournera pareil pour cinquante kilos ! C'est un problème d'arithmétique
élémentaire !". En militantisme paranoïaque, celui-ci comme en
misandrisme victimaire, on coquerique, on invective, on accuse et on
insulte avant de vérifier quoi que ce soit, avant de chercher les
compléments d'information indispensables.

C'est juste une variante de la pathologie narcissique. Une de plus. Mais
une variante communautaire, actuellement hégémonique dans nos pays
surenveloppés. Voir par exemple les falsifications ethnographiques de
Françoise Héritier régner dans toute la presse, et jusqu'à l'Institut
de France. Hégémonie... Exactement comme la doctrine de Lyssenko fut
hégémonique quelques décennies en URSS. Tiens justement, comme
Lyssenko, Françoise Héritier professe aussi l'hérédité des caractères
individuels acquis. Ce fut la même imposture au long des concours
agricoles britanniques du 19e et 20e siècle : on vendait fort cher des
taureaux-phénomènes ou des verrats-phénomènes, en faisant croire que
leur forte taille était due à une sélection génétique. Ils étaient
juste d'excellents éleveurs...
http://fabrice-nicolino.com/index.php

Les plus sçavants piscologues négligent malheureusement l'un des plus
lourds fardeaux qui pèsent sur les épaules de ces féministes qui malgré
les meilleures mises en garde, persistent à demeurer dans
l'hétérosexualité, par exemple parce qu'elles ont provisoirement besoin
d'un reproducteur pour s'assurer d'un cheptel de petits :
Comment choisir un mâle de façon à pouvoir le mépriser, le dominer et
le haïr tout son soûl ?


Vous le choisirez le plus faible et le plus taré possible, d'humeur la
plus incompatible. Ensuite c'est au choix, si vous voulez surtout le
maltraiter et le mépriser au quotidien, prenez le plus immature et le
plus dépendant des hommes. Si vous voulez le haïr au maximum après
avoir obtenu de lui une ou plusieurs grossesses, évidemment il sera
plus jouissif de le choisir plus viril et plus impulsif.

Ensuite, il vous faut avoir une idée du rythme de votre bascule
flip-flop : amour, désamour, amour, désamour, etc. jusqu'au désamour
final. Le cas le plus connu est : "Next mood change in five minutes".

Pour obtenir une grossesse d'un beau viril qui sera ensuite mis à la
porte, il vaudrait mieux choisir un rythme sur six mois. Mais êtes-vous
maîtresse du rythme de votre flip-flop ? Celui-là demeure un des choix
les plus prisés par les vraies féministes : il facilite beaucoup votre
propriété privée exclusive sur votre cheptel d'enfants, dont ensuite
vous ferez ce qu'il vous plaira.

Alors que si vous vous en tenez sur un flip-flop de période inférieure
à la journée ou à l'heure, vous aurez du mal à changer souvent de mâle
à maltraiter, il vous faudra rester avec celui qui est assez bonne
poire, assez dépendant pour ne pas vous jeter par dessus les moulins.
Sinon, les autres mâles que vous tenterez de capturer pour les faire
entrer sous votre maltraitance s'apercevront trop vite de votre jeu et
se dégageront à temps. Vous voilà condamnée à maltraiter stable, à tenir
stables les pires situations sans issue.

Il peut être délicat de choisir le moment où l'on déverse des torrents
d'injures à la tête du mâle qui fait un dur chantier chez vous. Si vous
êtes trop impulsive, vous déclenchez ça trop tôt, et il rentre
immédiatement chez lui en vous laissant sur les bras le chantier
inachevé, que vous êtes bien embarrassée pour terminer. Il vaut mieux
attendre le moment où il n'a plus guère que ses outils à nettoyer.
Comme ça vous jouissez immédiatement de tout le résultat des travaux.
De la ruse, que diable ! De la ruse, à la guerre ! Savoir paraître
faible quand la force extraordinaire s'approche insoupçonnée, voilà
l'art de la guerre qui nous a été enseigné voici déjà vingt-trois
siècles. Et comme l'enseignait le maître d'armes à monsieur Jourdain :
"Tout l'art des armes en famille consiste à infliger le maximum de
coups à son proche, sans s'en ramasser aucun en retour
."

Quand vous êtes féministe, il vous est interdit de former un "nous" de couple hétérosexuel, car l'hétérosexualité est contre nature. Vos seuls "nous" ne sont formés qu'avec votre maman, et vos copines féministes. C'est à elles que vous rendez compte de toutes les avanies que vous faites subir à votre "mec". Le jeu consiste à s'épater l'une l'autre en racontant le pire qu'on lui aura fait subir. Sinon, elles vous traiteront d'hétéro...

« Modifié: 22 août 2012, 01:42:42 pm par JacquesL »

JacquesL

  • Administrateur
  • Membre Héroïque
  • *****
  • Messages: 4 595
L'art de la condamnation préventive.
« Réponse #1 le: 22 août 2012, 09:38:05 am »
L'art de la condamnation préventive.

Pour toute femme avide de prendre et conserver tous les pouvoirs, il
faut maîtriser l'art de la condamnation préventive.

Par exemple, quand l'ex-ministre de la police, Nico le Hutin allait se
montrer dans une ville où on ne l'aimait guère, les gens suspectés
d'être susceptibles de manifester publiquement leur désapprobation au
petit roi, étaient préventivement arrêtés et détenus en garde à vue.
Au Féministan on peut faire mieux.

Le grand principe est que tout mâle est préventivement condamné pour
tout ce qu'il aurait pu dire s'il avait eu l'ombre d'une chance de
placer une phrase, et pour tout ce qu'il serait susceptible de penser
si on lui en laisse le loisir.

L'immense avantage de la condamnation préventive est qu'elle laisse
l'autre sans voix, sans possibilité de se défendre. Aleksandr
Soljénitsyn avait décrit cette surprise uniforme et stupide :
"M'arrêter ? Moi ? Pourquoi ?" : personne n'est armé par défaut pour
penser et pour contrer la perversité poussée à l'extrême. Elle n'a plus
qu'à jouer sur du velours.

De toutes façons, si le condamné préventif ose protester, il est cuit :
sa rébellion même - s'il ose protester - prouve qu'il était un ennemi
du régime, qu'il s'imaginait que le régime est pourri. Ce qui mérite le
châtiment le plus extrême, pour l'exemple, pour terrifier les autres :
pensées anti-soviétiques, anti-américaines, anti-chrétiennes,
antisémites, antiquaires, islamophobes, antiféministes, antirabiques,
anticapitalistes, antipathiques, homophobes, anti-zététiques,
anticonformistes, antifascistes, antilopes Koudou, anticalcaires,
antiacides, antimatière, Antinéa, anticommunistes, antimilitaristes,
Antigone, Anticosti, antimites, anti-mythes, anti-sceptiques,
anti-salissures, antifroiss, en titi, antidétonantes, Antsirabé,
anti-taches, antipodes, anticipées, antimoustiques, antigrippantes,
antidérapantes, antigang, antalgiques, antonymes, antédiluviennes,
antoedipiennes et direct Anthony Massy-Palaiseau, bref hérétiques et
libertines !
(Rayez la mention non utilisée).

Tiens justement à propos d'antiseptiques du Québec, on admirera avec
quelle virtuosité le Diablo-Hallucigenia pratique la répression pour
incroyance : harcèlement d'abord, débouchant inévitablement sur le
bannissement puisque le harcelé ose protester, et est tellement
insoumis qu'il ose diagnostiquer facilement la paranoïa du ouebmestre :
http://www.sceptiques.qc.ca/forum/pesant-de-guano-frais-feminazisme-t4189.html

La condamnation préventive ! Le péché originel ! Vieilles recettes qui
marchent toujours !


Comme nous l'avait doctement enseigné Michèle Dayras, vierge et martyre :
Citation de: Michèle Dayras
> Pour moi, tout homme est un " salaud " en puissance, comme on pourrait
> dire que tout homme est un violeur ou un intégirste en puissance. Je
> pense, aorès tant d'années passées à militer, qu'il ne s'agit que d'une
> question de degré dans l'abjection, ce qui fait que certains hommes
> peuvent passer pour sympa : ceux qui n'ont pas été confrontés à la
> réalité et que leur petite femme chérie...conforte dans leur machisme;
> ceux-là ne sont pas trop véhéments car ils n'ont pas l'impresion qu'ils
> vont perdre le pouvoir avec tous les privilèges qui s'y rapportent.
C'était le 22/08/2001 à 02:02:56.
Citation de: Michèle Dayras
> J'ai, au cours de mon existence de militante, rencontré seulement 2
> femmes qui, dans des conférences internationales ont été capanbles de
> dire que notre ennemi, celui qui nous opprime : c'est l'homme ! Aucune
> femmme n'ose accuser nommément les hommes car chacune a un père, un
> frère, un fils et un mari qu'elle chérit ! C'est ça le vrai handicap
> des femmes dans le combat pour leurs droits.
C'était le le 23/08/2001 à 01:24:55.

Il faut ajouter que la preuve que tout homme est un violeur en puissance :
Citer
> c'est qu'il porte en permanence sur lui l'arme du crime qu'on
> l'accusera de commettre. Et le plus grave est que la plupart d'entre
> eux - sauf les plus roses, vraiment peu appétissants - n'accepte de
> bon coeur de se laisser castrer, ce qui pourtant le libèrerait du
> fardeau oppressant du patriarcat...
>
> Or pourquoi donc porte-t-on constamment sur soi l'arme du crime, si ce
> n'est pour s'en servir prochainement ? La question est dans la réponse.
> Non, l'inverse, enfin c'est pareil.

Evidemment, les "punaises masculinistes" pourraient répliquer que
"Toute femme est une pute en puissance, puisqu'elle porte sur elle tous
les outils nécessaires pour ce travail
".  ;D