Bienvenue, Invité. Merci de vous connecter ou de vous inscrire.
Avez-vous perdu votre e-mail d'activation ?

25 avril 2024, 07:16:09 pm

Login with username, password and session length

Shoutbox

Membres
Stats
  • Total des messages: 5084
  • Total des sujets: 2368
  • En ligne aujourd'hui: 20
  • Record de connexion total: 138
  • (14 novembre 2018, 09:31:35 pm)
Membres en ligne
Membres: 0
Invités: 17
Total: 17

Auteur Sujet: La presse britannique publie la photo qui devrait suffire à innocenter Assange  (Lu 2252 fois)

JacquesL

  • Administrateur
  • Membre Héroïque
  • *****
  • Messages: 4 595
La presse britannique publie la photo qui devrait suffire à innocenter Assange :


http://www.dailymail.co.uk/news/article-2193641/Julian-Assange-rape-claim-Is-photo-clear-him.html

Citer
Is this the photo that could clear Assange? Grinning for the camera, WikiLeaks boss and 'Woman A' who says he sexually assaulted her 48 hours earlier



Smiles all around: Woman A, left, at a dinner with Julian Assange, centre, host Richard Falkvinge, Anna Troberg and Sara Sangberg


If the case ever reaches court –  Mr Assange is currently holed up in the Ecuadorian Embassy in London – his lawyers will argue that the  photograph undermines the 33-year-old woman’s entire story. And, they claim, there is more.

In the two days after the alleged assault in Sweden, Mr Assange and Woman A, as she is known, attended a conference and two dinner parties where it is claimed they were practically inseparable.

During one party, Woman A tweeted that she was ‘with the world’s coolest, smartest people!’.

The photograph was taken on August 15, 2010, at the Glenfiddich restaurant in Stockholm, at a dinner of meatballs and schnapps hosted by Rickard Falkvinge, the founder of the Swedish Pirate Party (PP), which campaigns for greater government transparency.

Although by all accounts it was a jolly occasion, there was some serious discussion that at times became ‘passionate and intense’.

Mr Falkvinge said the purpose of the dinner, which lasted three hours, was to sign a contract between the PP and WikiLeaks so Mr Assange’s organisation could use the party’s computer servers.

Also present was the deputy  leader of PP, Anna Troberg, and the party’s IT manager, Richard Olson, who brought along his then fiancee, Sara Sandberg.

Since the assault charges were brought, Mr Falkvinge and Ms Troberg have given detailed statements to the police in support of Mr Assange. Mr Falkvinge said their testimony included observations about the body language between Mr Assange and Woman A, who arrived with another woman,  called Pietra, who stayed just for the starter.

Mr Falkvinge sat next to Mr Assange, with Woman A sitting diagonally opposite them.

‘Most of the night, Julian was speaking with me,’ Mr Falkvinge said. ‘This was a heads of organisation meeting and everybody had  a counterpart to talk to. It was a  professional dinner.’

For Mr Falkvinge, one of the things that was striking about it, in view of what he later learned, was that Woman A volunteered to become Mr Assange’s press secretary during the meal. Mr Falkvinge has refused to go into details about the way Woman A behaved with Mr Assange, because he has to give evidence in court if a trial is held.

But he made it clear that he did not think Woman A behaved like a victim or someone who had suffered a traumatic sexual experience only two days earlier.

He said: ‘You can look at objective facts and draw far-reaching conclusions: the fact that we are at the dinner and it was with very passionate people and with good food and drinks; the fact that I and Anna Troberg have left depositions as key defence witnesses in the upcoming trial – that does tell you a lot.

‘You can say what we saw was more consistent with the defence than the prosecution.’

Due to Woman A’s complaint to the police, as well as that of another alleged victim, Mr Assange has been fighting extradition to Sweden from Britain for the past two years.

He insists he has been set up, and fears that going to Sweden is a ruse for him to be quickly extradited to America, where he could stand trial for leaking hundreds of thousands of classified US military documents on the WikiLeaks website.

His two-year fight against extradition took a bizarre twist when Mr Assange entered the Ecuadorian Embassy in June seeking asylum.

He was granted asylum by Ecuadorian president Rafael Correa last week, igniting a diplomatic rift between Ecuador and Britain.

The Mail on Sunday has also learned that just hours after the alleged attack, Woman A accompanied Mr Assange to a Social Democratic Party conference.

According to police reports, it was there that Mr Assange met Woman B, aged 29, who would accuse him  of rape.

The two women’s lawyer, Claes Borsgtrom, said yesterday: ‘We will only discuss the dinner at the restaurant and the picture in court.’



JacquesL

  • Administrateur
  • Membre Héroïque
  • *****
  • Messages: 4 595
Situation gravissime pour Julian Assange : l’appel de détresse de sa mère.
« Réponse #1 le: 14 novembre 2018, 10:41:31 am »
Situation gravissime pour Julian Assange : l’appel de détresse de sa mère

https://www.agoravox.tv/actualites/international/article/situation-gravissime-pour-julian-79250
par Christophe Hamelin.



Voici un appel de détresse lancé par la mère de Julian Assange. Ce qui se passe est d'une extrême gravité. Comment certains peuvent-ils continuer à appeler les régimes politiques occidentaux des "démocraties" alors que le pire est en train de se produire ? Allez-vous ouvrir les yeux un jour et comprendre qu'une domination immense, sans précédent dans l'histoire est en train de s'abattre sur les peuples ? Et nous sommes là à regarder l'oligarchie mettre à mort ce dissident comme jadis les soviétiques éliminaient les leurs. Aujourd'hui, ce sont nos dissidents qui, à l'image d'Edward Snowden, fuient vers la Russie en quête de protection. Que faire d'autre à part lancer des bouteilles à la mer, isolés que nous sommes, réduits à l'impuissance par notre isolement dans nos foyers ?

https://youtu.be/5nxigIRUkcU
<a href="http://src=https://youtu.be/5nxigIRUkcU" target="_blank" rel="noopener noreferrer" class="bbc_link bbc_flash_disabled new_win">http://src=https://youtu.be/5nxigIRUkcU</a>
<iframe width="620" height="349" src="https://www.youtube.com/embed/5nxigIRUkcU" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

(traduit à partir de la transcription d’un document sonore)

Ceci n’est pas un exercice. C’est une urgence. La vie de mon fils, le journaliste Julian Assange, est en danger imminent et grave. Je vous remercie tous d’entendre l’appel d’une mère qui vous demande de l’aider à le sauver.

Bien que Julian soit un journaliste primé à maintes reprises, très aimé et respecté pour avoir courageusement dénoncé, dans l’intérêt du public, des crimes graves et la corruption à haut niveau, il est actuellement seul, malade, souffrant et réduit au silence et à l’isolement, coupé de tout contact et torturé au cœur de Londres. La prison moderne des prisonniers politiques n’est plus la Tour de Londres mais l’Ambassade de l’Equateur.

Voici les faits : Julian est détenu depuis près de huit ans sans inculpation. Vous avez bien lu : sans inculpation.

Au cours des six dernières années, le gouvernement britannique a refusé ses demandes d’accès aux soins de santé de base : air frais, exercice, soleil pour la vitamine D et accès à des soins médicaux et dentaires appropriés. En conséquence, sa santé s’est sérieusement détériorée et les médecins qui l’examinent mettent en garde contre ces conditions de détention qui mettent sa vie en danger. Un assassinat lent et cruel se déroule sous nos yeux à l’ambassade de Londres.

En 2016, après une enquête approfondie, les Nations Unies ont statué que les droits de Julian avaient été violés à plusieurs reprises, qu’il était détenu illégalement depuis 2010, et ont ordonné sa libération immédiate, un sauf-conduit et son indemnisation. Le gouvernement britannique a refusé de se conformer à la décision de l’ONU.

Le gouvernement américain a déclaré que l’arrestation de Julian était une priorité. Ils veulent contourner la protection des journalistes américains en vertu de leur Premier Amendement [de la Constitution US] en l’accusant d’espionnage. Ils ne reculeront devant rien pour le faire.

En raison de la menace que les États-Unis font peser sur l’Équateur, son droit d’asile est maintenant directement menacé. Les pressions exercées par les États-Unis sur le nouveau président équatorien ont conduit Julian à être placé en isolement cellulaire strict et sévère au cours des sept derniers mois. Privé de tout contact avec sa famille et ses amis. Seuls ses avocats peuvent lui rendre visite.

Il y a deux semaines, la situation s’est considérablement aggravée. L’ancien président de l’Équateur, Rafael Correa, qui a légitimement accordé à Julian l’asile politique devant les menaces américaines contre sa vie et sa liberté, a publiquement averti que lorsque le vice-président américain Mike Pence s’est récemment rendu en Équateur, un accord a été conclu pour livrer Julian aux États-Unis. Il a déclaré que parce que le coût politique d’une expulsion de Julian était trop élevé, le plan consiste à le briser mentalement. Un nouvel ensemble de règles et de protocoles inhumains, impossibles à mettre en œuvre, a été mis en place à l’ambassade pour le torturer au point de le faire craquer et le forcer à partir.

En même temps, un membre du gouvernement équatorien a tenté à plusieurs reprises d’annuler la citoyenneté équatorienne [de Julian] afin qu’il puisse être extradé directement vers les États-Unis.

Alors que ses avocats contestaient cette dernière violation de ses droits humains en vertu de la Constitution équatorienne, l’avocat du gouvernement a averti Julian que même son témoignage décrivant ses souffrances pourrait constituer une violation du nouveau protocole et un motif d’expulsion de l’ambassade. Ils lui ont refusé la visite de ses avocats pendant quatre jours, avant l’audience de lundi prochain, ce qui compromet la préparation de son dossier et accroît encore son isolement, son anxiété et son stress.

Ils sont en train de piéger mon fils pour avoir une excuse pour le livrer aux États-Unis, où il fera l’objet d’un simulacre de procès.

Au cours des huit dernières années, il n’a pas eu accès à un processus juridique approprié. A chaque étape, c’est l’injustice qui a prévalu, avec un énorme déni de justice. Il n’y a aucune raison de penser qu’il en sera autrement à l’avenir. Le grand jury américain qui produit le mandat d’extradition se tient en secret, a quatre procureurs mais pas de défense ni de juge.

Le traité d’extradition entre le Royaume-Uni et les États-Unis permet au Royaume-Uni d’extrader Julian vers les États-Unis sans qu’il y ait de preuve prima facie. Une fois aux États-Unis, la National Defense Authorization Act permet la détention illimitée sans procès. Julian risque d’être emprisonné à Guantánamo Bay et torturé, d’être condamné à 45 ans de prison de haute sécurité, ou la peine de mort.

Mon fils est en danger critique à cause d’une persécution brutale et politique par les tyrans au pouvoir dont il a courageusement dénoncé les crimes et la corruption quand il était rédacteur en chef de WikiLeaks. Les entités corrompues qui, au gouvernement, parlent d’intimidation, de fausses nouvelles et de droits humains sont les mêmes brutes qui poussent mon fils à la mort.

Il semblerait que le journalisme courageux, honnête et primé à plusieurs reprises soit devenu une activité dangereuse.

Les voies légales ont été subverties, et il est donc peu probable qu’elles puissent le sauver.

Parce qu’il s’agit d’une persécution politique transnationale par une superpuissance sauvage en collusion avec ses alliés, sauver Julian nécessite l’indignation des peuples du monde.

Je vous demande de faire du bruit, beaucoup de bruit, et de continuer à en faire jusqu’à ce que mon fils soit libéré. Nous devons protester contre cette brutalité assourdissante.

J’en appelle à tous les journalistes pour qu’ils se dressent, parce qu’il est votre collègue - et parce que vous serez les prochains.

J’en appelle à tous les politiciens qui disent qu’ils sont entrés au Parlement pour servir le peuple, pour qu’ils se dressent maintenant.

J’en appelle à tous les activistes qui soutiennent les droits de l’homme, les réfugiés, l’environnement, et qui sont contre la guerre, à se dresser maintenant parce que WikiLeaks a servi les causes que vous défendez, et Julian souffre maintenant pour cela, à vos côtés.

J’en appelle à tous les citoyens attachés à la liberté, à la démocratie et à la justice, à mettre de côté leurs divergences politiques et à s’unir et à se mobiliser maintenant.

La plupart d’entre nous n’ont pas le courage des lanceurs d’alerte, ni des journalistes comme Julian Assange qui les publient, afin que nous soyons informés et avertis des abus de pouvoir. Mais nous pouvons nous mobiliser en masse et les protéger.

Tout au long de l’histoire, lorsque les abus de pouvoir sont devenus insupportables pour le peuple, celui-ci s’est uni et s’est levé pour les faire cesser.

Le moment est venu de dire « ça suffit ! Nous, les gens, ne resterons pas les bras croisés et ne regarderons pas mourir ce courageux journaliste ».

(Traduction "gorge nouée et rage au ventre. Où sont les médias "alternatifs" ?" par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles.)
 
Accessoirement, j'ai longtemps pensé que Pamela Anderson était une potiche, c'était "Alerte à Malibu", etc. Bon, il ne s'agit pas ici d'en faire une intellectuelle, cependant, on peut lui reconnaître une réelle lucidité sur des sujets étonnants comme l'affaire Assange ou encore l'organisation de la phobie anti-russe par l'oligarchie qui nous contrôle. Voici un court entretien avec elle, pour ceux qui comprennent l'anglais :

https://youtu.be/iYSEpYiJ0JY
<iframe width="620" height="349" src="https://www.youtube.com/embed/iYSEpYiJ0JY" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe>

Cette fille a du cran, elle vit dans une dictature, elle est super connue, bosse à Hollywood et se permet de dire la vérité sur Assange, Poutine et la Russie en général et même de dire que certains sont contents de la situation. Chapeau Pam

Christophe Hamelin.
« Modifié: 14 novembre 2018, 10:45:23 pm par JacquesL »

JacquesL

  • Administrateur
  • Membre Héroïque
  • *****
  • Messages: 4 595
Assange a été capturé par les britanniques dans l'ambassade d'Equateur.
« Réponse #2 le: 11 avril 2019, 09:50:36 pm »
Lâché par le président équatorien, Assange a été capturé par les britanniques dans l'ambassade d'Equateur.
https://fr.sputniknews.com/international/201904111040693200-assange-ambassade-equateur-londres-arrestation/
https://www.agoravox.tv/actualites/international/article/le-fondateur-du-site-wikileaks-81281

De ceux qui ont empoisonné et qui séquestrent le père et la fille Skripal, on ne peut s'attendre qu'au pire.