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Auteur Sujet: "N'avouez jamais! ", la devise des escrocs et charlatans (GIEC inclusivement) :  (Lu 2978 fois)

JacquesL

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"N'avouez jamais! ", la devise des escrocs et charlatans (GIEC inclusivement) :
http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/09/27/rechauffement-climatique-les-experts-du-giec-aggravent-leur-diagnostic_3485857_3244.html

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LE MONDE | 27.09.2013 à 10h24 • Mis à jour le 27.09.2013 à 17h19 | Par Stéphane Foucart (Stockholm, envoyé spécial

Les experts du climat aggravent leur diagnostic. Au terme d'une négociation-marathon qui s'est achevée à Stockholm (Suède), vendredi 27 septembre au petit matin, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a adopté le premier volet de son cinquième rapport. Sur plusieurs points cette édition apparaît bien plus alarmante que la précédente, publiée en 2007.

Le texte le plus attendu n'est cependant pas le rapport lui-même, qui sera publié en janvier, mais son Résumé à l'intention des décideurs, bref document d'une vingtaine de pages qui servira de base aux éventuelles actions politiques menées sur le front climatique.

Adopté ligne à ligne par les délégués et les scientifiques de l'ensemble des pays membres du GIEC, il présente l'état des connaissances scientifiques sur le réchauffement en cours de la manière la plus consensuelle possible. Celles-ci n'en dessinent pas moins un tableau assez sombre. "C'est une confirmation mais aussi un renforcement des diagnostics précédents", résume Jean-Pascal van Ypersele (université catholique de Louvain), vice-président du GIEC.

TEMPÉRATURES

Les experts du climat estiment désormais "extrêmement probable" – c'est-à-dire, dans le jargon du GIEC, avec une probabilité supérieure à 95 % – que l'élévation de la température terrestre relevée depuis le milieu du XXe siècle est bel et bien le fait de l'accumulation des gaz à effet de serre d'origine humaine. Cette probabilité était évaluée à 90 % dans le précédent rapport, rendu en 2007. Le réchauffement moyen depuis 1880 est désormais de 0,85 °C et les trois dernières décennies sont "probablement" les plus chaudes depuis au moins mille quatre cents ans.

Regarder la carte interactive sur les impacts du réchauffement climatique

Carte des risques liés au réchauffement climatique

En fonction des scénarios de développement (du plus sobre au plus émetteur), les modèles climatiques prévoient une élévation de température comprise entre 0,3 °C et 4,8 °C pour la période 2081-2100, par rapport à la période 1986-2005. Seul le scénario le plus sobre – et aussi le plus improbable – a une probabilité supérieure à 50 % d'éviter de dépasser le seuil de 2 °C au dessus des températures pré-industrielles. Seule note d'espoir : les experts ont légèrement élargi la fourchette donnant l'élévation de température en cas de doublement du CO2 : de 2 °C à 4,5 °C en 2007, ils sont passés à 1,5 °C à 4,5 °C.

GLACES

Neiges et glaces de toutes sortes se rétractent rapidement. La banquise arctique estivale a perdu, en surface, entre 9,4 % et 13,6 % depuis 1979. Les experts n'excluent pas qu'elle ait totalement disparu au milieu du siècle, dans le cas du scénario le plus noir.

Les glaciers de montagne ont perdu en moyenne environ 275 milliards de tonnes (Gt) de glaces par an entre 1993 et 2009. Relevée au mois de juin, la couverture neigeuse de l'hémisphère nord a perdu en moyenne 11,7 % par décennie entre 1967 et 2012. Les experts estiment "très probable" que la calotte de glace du Groenland ait perdu en moyenne 34 Gt par an entre 1992 et 2001. Ce taux est depuis passé à 215 Gt de perte par an entre 1993 et 2009. L'Antarctique est soumis à une accélération comparable. La perte de glace des deux inlandsis contribue fortement à faire monter les océans.

NIVEAU DE LA MER

En 2007, le précédent rapport prévoyait une élévation moyenne du niveau de la mer comprise entre 18 cm et 59 cm d'ici à la fin du siècle. Cette estimation avait été critiquée dès sa publication : elle ne tenait pas compte des pertes de glace du Groenland et de l'Antarctique.

En intégrant ces deux contributeurs importants, les simulations donnent des chiffres plus conséquents : en fonction des émissions à venir, la mer pourrait être plus haute 26 cm à 82 cm dans la période 2081-2100 qu'entre 1986-2005. Mais dans le scénario le plus noir, les experts donnent comme fourchette haute le chiffre de 98 cm d'élévation moyenne.

Avec un rythme de hausse qui pourrait atteindre 0,8 cm à 1,6 cm par an au cours des deux dernières décennies du siècle. Ce rythme est aujourd'hui de 3,2 mm par an. D'autres simulations, dites semi-empiriques, donnent des valeurs beaucoup plus importantes ("jusqu'au double", précise le GIEC dans le Résumé) mais ne font pas consensus dans la communauté scientifique. Entre 1901 et 2010, les océans se sont en moyenne élevés de 19 cm. Cependant, préviennent les experts, cette élévation n'est pas uniforme : certaines régions seront plus rapidement affectées que d'autres.

ÉVÉNEMENTS EXTRÊMES

Les experts estiment "très probable" que l'influence humaine a contribué aux changements de fréquence et d'intensité des températures extrême notés depuis le milieu du XXe siècle. "Les vagues de chaleur vont très probablement se produire plus fréquemment et durer plus longtemps, a déclaré le climatologue Thomas Stocker (université de Berne), co-président du groupe de travail du GIEC. Avec le réchauffement, nous nous attendons à voir les régions humides recevoir plus de pluies et les régions les plus sèches à en recevoir moins."

GÉO-INGÉNIERIE

Pour la première fois, la géo-ingénierie est mentionnée dans le Résumé à l'intention des décideurs. Ce terme désigne des dispositifs de manipulation du climat comme, par exemple, la dispersion massive de particules dans la stratosphère, qui réfléchiraient une part du rayonnement solaire, contribuant ainsi à refroidir le climat. "C'était une demande des gouvernements de se pencher sur cette question", précise M. van Ypersele. Une brèche n'est-elle pas ouverte, ouvrant la voie à des méthodes de lutte contre le réchauffement ne passant pas une réduction des émissions ? "Nous soulignons tous les risques et les incertitudes liés à la géo-ingénierie, répond-il. Ne pas traiter cette question dans le rapport du GIEC ouvrirait la porte à ce qu'on puisse en dire n'importe quoi."

Lire aussi (zone Abonnés) :  Climat : une pression supplémentaire sur les négociations internationales

    Stéphane Foucart (Stockholm, envoyé spécial)
    Journaliste au Monde

L'évolution clinique des charlatans sous la direction d'un noyau psychotique de plus en plus gros et envahissant, a déjà été décrite :
http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=42.msg265#msg265
Le charlatan se rend au fil du temps de plus en plus psychotique, en ce sens que le déni de réalité envahit peu à peu toute sa vie.

Les policiers ne connaissent que trop l'évolution des marlous qui ont goûté au proxénétisme. Ils ont goûté à l'argent facile, drogue dure dont ils ne se déferont jamais, ils ne reviendront jamais vers la vie honnête.

Les charlatans qui ont profité de la propagande médiatique et des soutiens politiques intergouvernementaux pour leur fraude climatique, sont eux aussi addicts d'une drogue dure : les crédits faciles, le pouvoir facile, les publis facilitées, les abus faciles, l'enivrante sensation d'être désormais les maîtres du monde, avec la dictature mondiale à portée de mains... Ils ne reviendront jamais à l'humble vie honnête, si pleine de doutes. Ils n'accepteront jamais d'avouer qu'ils ont gaspillé de précieux crédits sur leur charlatanerie, qui auraient eu de bien meilleurs usages sur les vrais problèmes, qui eux ne manquent pas. Ils n'accepteront jamais d'avouer qu'ils ont truandé comme des pourris.

D'où leur fuite en avant.

--
GIEC et fraude à l'évolution climatique :
http://impostures.deontologic.org/index.php?board=30.0
Gang Intergouvernemental d'Escrocs Carbocentristes : GIEC.

http://www.conspiracywatch.info/Faut-il-debattre-avec-les-climato-sceptiques_a1139.html ou
http://www.lemonde.fr/sciences/article/2013/10/21/faut-il-debattre-avec-les-climato-sceptiques_3500408_1650684.html
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Faut-il débattre avec les climato-sceptiques ?
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 21.10.2013 à 18h28 • Mis à jour le 23.10.2013 à 13h59 | Thierry Libaert (professeur en sciences de la communication à l'université catholique de Louvain (Belgique)) et Dominique Bourg (professeur en humanités environnementales à l'université de Lausanne (Suisse))


L'occasion de la publication, le 27 septembre, du premier volume du rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), consacré aux bases scientifiques du dérèglement climatique, a ravivé le débat sur l'attitude des médias envers le climato-scepticisme. Dimanche 29 septembre, Jean-Pascal van Ypersele, vice-président du GIEC, a refusé l'invitation de la radio-télévision francophone belge (RTBF) à venir débattre avec Istvan Marko, professeur de chimie à l'Université catholique de Louvain (Belgique) et climato-sceptique auteur d'un ouvrage à charge, Climat, 15 vérités qui dérangent (Texquis essais, 274 p., 25 euros).

Aussitôt, les réseaux sociaux se sont enflammés : comment un scientifique peut-il refuser le débat ? Les climatologues craignent-ils la discussion ? La question que nous posons ici est plutôt celle de savoir si les scientifiques du climat doivent accepter la confrontation médiatique, au risque de légitimer leurs opposants. Ce débat ne manquera pas de resurgir puisque le deuxième volume sera publié en mars 2014, le troisième, en avril, et le document de synthèse en octobre 2014. Sachant qu'ensuite, le grand rendez-vous sera la Cop 21, conférence sur le climat des Nations unies à Paris en 2015, le sujet de la confrontation avec les climato-sceptiques risque fort de refaire surface périodiquement.

LES CLIMATO-SCEPTIQUES SERAIENT VICTIMES D'UN OSTRACISME

Les climato-sceptiques utilisent abondamment l'argument tiré de l'impossibilité du débat : ils seraient victimes d'un ostracisme, voire d'une censure que leur opposerait la "science officielle". Cet argument mérite d'être considéré. La démocratie est née au VIe siècle avant J. -C., avec notamment l'agora et la capacité donnée au peuple de débattre de tout sujet relatif à la vie de la cité, et de prendre les décisions souverainement. Certes, cette capacité théorisée par Aristote, Cicéron et Quintilien de se rendre à l'agora était très limitée socialement et l'on n'y débattait pas du théorème de Pythagore. La démocratie exigeait néanmoins la discussion publique.

Nul ne saurait non plus contester la nécessité du débat pour la démarche scientifique. Le philosophe autrichien Karl Popper (1902-1994) en faisait même un des fondamentaux de la science : comparativement à une idéologie, la science doit pouvoir se prêter à une éventuelle réfutation. Le doute est même consubstantiel à la démarche scientifique. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle le GIEC s'attache à répondre aux commentaires critiques d'où qu'ils viennent, qu'il sollicite par trois fois au cours de l'élaboration de ses rapports.

Cela posé, il convient d'abord, et c'est l'essentiel, de ne pas confondre l'expression d'un débat public médiatisé avec le débat scientifique. Ce dernier a ses propres règles, notamment celle - draconienne - de l'évaluation anonyme des articles par les pairs. Il a ses propres critères, comme la rigueur méthodologique et les conditions de l'expérimentation. Il a surtout sa propre temporalité : une publication scientifique nécessite en moyenne trois à quatre ans de travail entre la recherche elle-même, sa validation, ses révisions et son acceptation finale.

MISE EN ÉVIDENCE D'UN DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE QUI VA S'ACCÉLÉRER

C'est encore le temps qui permet, par corrections successives, de valider les énoncés scientifiques. S'agissant du dernier rapport du GIEC, le fait que 259 scientifiques provenant de 39 pays différents, ayant répondu à 54 677 commentaires avec l'appui de plus de 600 contributeurs, et cela de la manière la plus transparente qui soit, concluent sans ambiguïté à la mise en évidence d'un dérèglement climatique qui va s'accélérer, sauf à sombrer dans une théorie du complot, ne peut que nous faire accepter cette évidence : il n'y a plus de débat scientifique sur la réalité du changement climatique ni sur la responsabilité principale des activités humaines.

Certes, mais cela doit-il empêcher le débat public de se poursuivre ?

Comme le déclaraient Naomi Oreskes et Erik Conway dans leur ouvrage remarquable Les Marchands de doute (Le Pommier, 2012), les scientifiques savent parfaitement créer de nouveaux savoirs, mais ils sont souvent incapables de défendre leur travail lors de joutes médiatiques. Comme l'observe le journaliste français Sylvestre Huet : "Entre un mensonge simple et une vérité compliquée à démontrer, c'est le menteur qui l'emporte." Quels que soient la qualité de l'organisation du débat et le talent de l'animateur, des contre-vérités flagrantes peuvent s'y répandre, et la brièveté du format ne permet pas d'y répondre. Quant au public, il n'est pas en mesure de discriminer le vraisemblable du faux. On peut donc comprendre que certains scientifiques, pleinement investis dans leurs recherches, n'aient pas accepté que certains médias mettent sur le même pied le travail rigoureux du GIEC et celui de personnalités n'ayant aucune publication digne de ce nom sur le climat.

"NÉCESSAIRE ÉQUILIBRE DES OPINIONS"

N'ayant pas d'enceinte scientifique pour promouvoir leurs thèses, les climato-sceptiques cherchent logiquement à tirer profit des médias et des réseaux sociaux pour faire valoir leur vision en utilisant cet argument du "nécessaire équilibre des opinions".

Lire aussi : Peut-on censurer au nom de la science ?

Accepter les contradictions médiatiques, ce serait reconnaître la légitimité des climato-sceptiques à propager les doutes, et donc la crédibilité de leurs arguments, ce que l'ensemble du travail scientifique en climatologie condamne désormais depuis plus de vingt ans.

D'aucuns dénonceront une contradiction entre le point de vue défendu ici de respect de la connaissance scientifique et la contestation par les écologistes des OGM. A tort. Avec les sciences du climat, nous avons en effet affaire à des énoncés qui visent, selon la finalité même de la connaissance scientifique, la plus grande vraisemblance, et ce eu égard à une réalité statistique, le climat, qui échappe à nos sens et à notre quotidien. Nous percevons la météo du jour et non le climat. A la différence des théories évaluées par le GIEC, les OGM ne constituent pas des énoncés, mais des objets. Or un objet est utile, chaud, carré, etc., mais ne saurait être plus ou moins vrai. A quoi s'ajoute que défendre des énoncés ou promouvoir des objets n'a pas la même signification économique.

ABSENCE D'ESPRIT DÉMOCRATIQUE

Certes les OGM ne pourraient exister sans, en amont, un réel savoir scientifique. D'autres recherches que celles qui les ont rendus possibles vont par ailleurs permettre d'en évaluer certains aspects ; mais il est bien d'autres évaluations, en termes d'économie, de liberté, d'éthique, etc., qui ne relèvent nullement de la science. Le jugement sur les OGM est donc, en partie, une question de débat public.

Revenons au climat. Bien sûr, des espaces de débat devraient subsister et toute contradiction, même de mauvaise foi, est un élément à protéger de nos dispositifs démocratiques. Quant à l'argument du refus du débat et, en conséquence, d'absence d'esprit démocratique avancé par les climato-sceptiques, il n'est pas tenable lorsqu'il n'y a pas de volonté organisée, délibérée et répétée de refuser la confrontation. La démocratie, c'est aussi la capacité que nous devons avoir, chacun d'entre nous, de pouvoir refuser un débat quand il est faussé.

Le supplément "Science & médecine" publie chaque semaine une tribune libre ouverte au monde de la recherche. Si vous souhaitez soumettre un texte, prière de l'adresser à sciences@lemonde.fr.

Thierry Libaert (professeur en sciences de la communication à l'université catholique de Louvain (Belgique)) et Dominique Bourg (professeur en humanités environnementales à l'université de Lausanne (Suisse))

Il est remarquable que Thierry Libaert et Dominique Bourg n'ont pas l'ombre d'une formation scientifique, côté sciences exactes. Des "humanités" et du baratin "communication", strictement rien de plus.

Un ironiste se fit un plaisir de répondre à l'agent du MOSSAD qui espérait fustiger les "conspirationnistes" :
Citation de: Naïf
Ah ! Tu as raison ! Les incroyants sont tous des hérétiques qu'il faut brûler, et plus vite que ça !

Prenons tous exemple sur l'épiscopat français, qui a su courageusement et dignement voler au secours de la fatwa de Khomeiny contre cet impie de Salman Rushdie : "Rrhaaah ! Encore une fois les crédules sont blessés dans leur crédulité ! Imposteurs professionnels de tous les pays, unissons nous contre les incroyants qui nous encerclent et nous persécutent".

De toutes façons, même s'il ne restait qu'un seul incroyant encore en vie, les crédules seraient encerclés par lui, car la Terre est ronde.

Citation de: Fabrice Neyret
mhh, pour trancher, faudrait deja trouver le bon referentiel où donnerun sens à l'affirmation.

en 3D, les points d'une sphere n'encerclent pas les autres points de la sphere. (quand un cow-boy atteint le cercle des indiens, il n'est plus encerclé ).

en surfacique, s'agissant d'une variété sans métrique globale, il est difficile de définir un intérieur.
si on definie la distance comme la longueur géodésique min, le rayon r d'un "cercle" comme l'iso-distance r, et l'intérieur comme l'ensemble des points de distance géodésique inférieure au rayon, alors il on peut etre non-encerclé... sauf dans le cas pathologique des grands cercles.

--
Fabrice

C'est René Goscinny qui nous avait fait remarquer cette particularité topologique de la sphère : "Des barbelés ! Il nous a enfermés dans des barbelés !" (le petit fermier a clôturé son petit terrain).
Si tu traces un petit triangle à la surface de la Terre, la somme de ses angles intérieurs vaut deux droits, plus [tex]\epsilon[/tex]. Si tu regardes le grand triangle complémentaire, la somme de ses angles intérieurs vaut dix droits, moins le même [tex]\epsilon[/tex]. Le tout fait bien douze droits.

C'est pourquoi les militantes féminazies sont encore encerclées par les "punaises masculinistes" aussi longtemps qu'il subsistera un mâle insoumis et encore vivant sur Terre.

Les ayatollahs aussi souffrent de la topologie de la sphère. D'autant que c'est à cause des femmes noires et des femmes roumies, toutes des insoumises, qu'il y a encore des tremblements de Terre en Iran.


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Merci quand même à "Nicolas Krebs" de me signaler plus ou moins volontairement cet ouvrage récent:

Climat : 15 vérités qui dérangent Istvan Marko (Sous la direction de)

Date de publication: 30 mai 2013  | Série: TEXQUIS ESSAIS
Le débat sur l'origine des changements climatiques est loin d'être clos. Ces dernières années, les faits sont venus contredire les théories du groupe international d'experts sur le climat (le GIEC).

Pourquoi les températures n'ont-elles plus augmenté à la surface du globe depuis 1998, tandis que les émissions de CO2 ne cessaient de croître ? Pourquoi le volume de glace en Antarctique ne diminue-t-il pas ? Pourquoi les scientifiques impliqués dans le « Climategate » refusent-ils de fournir les données sur lesquelles se basent leurs prévisions ? Et surtout, pourquoi les prédictions alarmistes proférées par ces scientifiques ne se sont-elles pas réalisées ?

Pour la première fois, des professionnels issus de différentes disciplines unissent leurs forces pour montrer que le débat sur le climat n'est pas clos. En dépit des pressions professionnelles qu'ils subissent, et du tsunami médiatique d'hostilité qu'ils rencontrent à chacune de leurs initiatives, les auteurs du présent ouvrage, chimistes, géologue, ingénieurs, journaliste, épistémologue, dont plusieurs scientifiques reconnus dans leurs disciplines respectives, estiment qu'il n'est plus possible de se taire.

Cet ouvrage, véritable bible du « climato-scepticisme », fait la synthèse des arguments qui réfutent les thèses dominantes dans le domaine climatique. Il est montré comment, depuis quinze ans, la réalité dément systématiquement les projections du groupe d'experts international sur le climat (GIEC) et de leurs innombrables relais politiques et médiatiques. Pour que triomphe la vérité scientifique.
http://www.amazon.fr/Climat-15-vérités-qui-dérangent/dp/2930650052

Sur leur truandage comme des pourris, voir l'exemple de l'ONERC  ou Observatoire National sur les Effets du Réchauffement Climatique ! Par définition sa raison sociale est de propagander le mythe du "réchauffement climatique", cela avec l'argent de nos impôts.
On admire leur méthode :
http://onerc.developpement-durable.gouv.fr/fr/indicateur/les-hivers-au-col-de-porte-massif-de-la-chartreuse-isere
Voilà qui est truander en vrais professionnels de la fraude.
Vous démarrez l'enregistrement à marée basse, vous l'arrêtez à marée haute, Vous prenez soin d'oublier les enneigements 2010, 2011, 2012 et 2013 qui sont politically pas corrects, vous faites une régression linéaire (très important, la régression linéaire ! si si , ils ont osé...), et voilà ! vous prédisez que l'Himalaya sera submergé en 2035 !
Aboulez les pépettes pour les climastrologues du prince !

Et le reste des fraudes et des fautes professionnelles accumulées est à l'avenant.

Voilà où ça mène, le socialisme de posture, qui est infoutu de recadrer son rôle ni ses objectifs. La classe ouvrière est aussi désorganisée et divisée que la paysannerie, réduite à la même impuissance politique et bien pis encore quand à la perte de toute autonomie culturelle ni morale ; désormais incapable de demander des comptes à quiconque. Alors que faire dans nos pays surenveloppés, consommateurs chaque jour plus incapables de produire ? Suivre les lubies des militantes les plus criardes et belliqueuses, le plus souvent féminazies et lesbiennes (d'où leur propagande forcenée pour leur "théorie du genre" à laquelle le ministère se dépêche d'obéir)...

Si en 1613 les boyars assemblés ont offert le trône à Mikhaïl Romanov, c'est par ruse : ils étaient certains qu'il était le plus bête et le plus faible d'entre eux, et qu'il ne les embêterait pas beaucoup. Tandis que si les socialistes et les communistes se laissent mener par le bout du nez par les plus égoïstes et bornées (par exemple Gudrun Schymann qui réclamait de taxer le délit de masculinité, que les hommes commirent rien qu'en naissant), c'est par bêtise simple et naturelle.  Aucune ruse...

--
GIEC et fraude à l'évolution climatique :
http://impostures.deontologic.org/index.php?board=30.0
Gang Intergouvernemental d'Escrocs Carbocentristes : GIEC.
« Modifié: 28 octobre 2013, 05:33:22 am par JacquesL »

JacquesL

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> Thierry Libaert (professeur en sciences de la communication à
> l'université catholique de Louvain (Belgique)) et Dominique Bourg
> (professeur en humanités environnementales à l'université de Lausanne
> (Suisse))

> Il est remarquable que Thierry Libaert et Dominique Bourg n'ont pas
> l'ombre d'une formation scientifique, côté sciences exactes. Des
> "humanités" et du baratin "communication", strictement rien de plus.

Oui, des baratinants universitaires ordinaires.

Les deux citations relevées sur la page Wikipedia de Dominique Bourg:

« Le maître mot de nos relations à la nature n'est plus la maîtrise possessive mais la responsabilité. »
« L'étroite interdépendance des phénomènes et l'irréductibilité de leurs dimensions spatiale et temporelle viennent en effet singulièrement limiter le pouvoir de nos techniques. »

Rhâaa...

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La déclaration de Bourg  est tellement puissante .... qu'elle est pissante de rire : la langue de bois n'est plus tirée du chêne mais de l'azobé (bois dense et imputrescible) !

--
Lucien