Analyse en réflexivité : qu'est-ce que cela me fait ressentir de si fort ? Pourquoi ?
Le mur de mauvaise foi compacte, et d'hypocrisie illimitée, que Claude Boublil oppose à sa soeur, ne me rappelle que trop les murs de mauvaise foi compacte, et d'hypocrisie illimitée, que m'opposent depuis plus de dix ans feue ma mère, et toujours ma soeur. Si elle en avait le pouvoir, nul doute que ma soeur n'hésiterait jamais à m'enfermer aux oubliettes jusqu'à ce que mort s'ensuive. Elle a déjà menacé ma compagne qu'elle me ferait enfermer si je persistais à être vivant, à être le témoin gênant qu'on ne parvient pas à faire taire.
Le charlatan Claude Boublil diagnostique sa soeur comme "
en crise psychotique", parce qu'il y a de l'héritage à capter. Ma charlatane de soeur fait de même...
Ma demande du 10 décembre 2004, de mettre fin
in extremis à leur complaisance envers la criminalité organisée, est publique. Son adresse d'origine est désormais inaccessible, passée en archives, mais je l'ai republiée là :
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Fam_Lavau/Mettre_fin_a_la_complaisance_envers_la_criminalite_organisee.htmJusqu'au 24 décembre 2004, les violences téléphoniques de ma soeur ne laissaient aucune trace matérielle, aucune preuve, et rien n'était plus facile que de démentir leur toxicité fort volontaire, d'un dédaigneux "
Mais tu délires complètement, mon pauvre fou ! Il ne s'est jamais rien passé de tel puisque tu ne peux pas le prouver en justice !". Normalement, le harcèlement et l'
action psy sont des crimes parfaits, qui ne doivent laisser aucune trace compromettante... Voilà qui est changé avec ce courrier, qui lui, demeure, et qui n'est pas le seul :
Même diagnostic sauvage par une charlatane complète : ma soeur n'a aucune formation en psychiatrie ni en psychopathologie. Moi si, j'ai cette formation universitaire, mais cela porte ombrage à l'omniscience infuse de cette vaniteuse. N'oublions pas ces fabuleux théorèmes de ma soeur :
"
Et pis d'abord ! T'as pas le droit d'ouvrir la bouche sur quoi que ce soit, puisque tu n'as même pas été psychanalysé !". Madame Soeur dixit.
"
Et pis d'abord ! Ton témoignage est irrecevable, puisque tu y étais ! Donc tu n'es pas objectif ! Tandis que moi qui n'y étais pas, qui ai toujours su me tenir à l'écart des faits, et prendre soin de ne jamais rien vérifier, je suis objective !". Madame Soeur dixit.
"
Kestatan pour avouer que l'inconscient est omniscient ? Kestatan pour avouer que tout escroqué était en profonde complicité avec l'escroc, que tout volé était en profonde complicité avec le voleur (ou la voleuse), et est donc le véritable coupable du vol qu'il a subi ?
Kestatan pour avouer que tu as choisi ("
Gazonbleu" est son pseudonyme usuel, féminin de Barbe Bleue)
exprès pour te faire maltraiter par elle ?". Madame Soeur dixit.
"
Et puis d'abord, tu n'as pas le droit de décrire la paranoïa de ta femme, car tu n'as pas fait d'études de psychiatrie !". Madame Soeur dixit. (Je les ai faites depuis, les études de psychopathologie, et pour de bien autres raisons).
"
Et puis d'abord, oser expérimenter comme tu l'as fait, pour déterminer lequel de vous deux est fou, c'est une abominable traîtrise, comme seul peut l'imaginer un paranoïaque ! Un homme normal, quand nous le traitons de fou à répétition, se laisse docilement convaincre sans chercher à comprendre, lui !". Ce harcèlement aussi est de ma soeur. Expérimentation décrite en annexe n° 2 de l'article à
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/paranoia.html.
"
Et puis d'abord, Kestatan pour avouer que vous les profs, vous êtes tous des addicts de la relation inégale, que vous êtes tous incapables de vous remettre en cause, tous abusifs, et que j'ai bien raison de me venger de vous tous, sur toi !". Toujours pour ne citer que ma soeur...
On remarquera le choix des accusations les plus ignobles, et sans s'inquiéter le moins du monde qu'elles soient contrafactuelles : "
le mépris que tu montres à l'égard de tes enfants". La contrafactualité ne dérangera jamais Madame Soeur, qui a toujours manoeuvré pour se maintenir le plus loin possible des faits, pour échapper à toute expérimentation dirimante : ils pourraient déranger ses intimes convictions préalables. Ironiste, papa avait l'habitude de brocarder "
Commençons par écarter soigneusement tous les faits, car ils ne se rapportent point à la question !"
Très intéressante aussi est la formulation : "
Tu impressionnes certains par ta culture générale". Elle révèle que la jalousie de vaniteuse est le moteur de base de la haine illimitée qu'éprouve ma soeur à l'égard de son frère, et qui inspire ses fourberies successives. C'est le politologue Jean Leca qui m'a donné la clé, en exposant la haine tenace et jalouse que Robert Mossé vouait à Georges : les vaniteux détestent à mort ceux dont la compétence et l'honnêteté font ombrage à leur incompétence.
Persécuteur externe actif et redoutable, Georges était difficile à vivre et pour moi-même et pour son épouse Anne. Du moins m'a-t-il exercé à n'être jamais là où l'on m'attend, et à avoir un persécuteur interne très exigeant pour l'écrivain et le scientifique - aussi exigeant que celui de Charles De Gaulle écrivain styliste. A défaut de tout le reste, cela m'a du moins permis de devenir facilement un chercheur-né, ce qui n'aurait jamais servi à rien et serait demeuré stérile à vie, si dans les années 74-76, je n'avais heureusement appris à être un trouveur. Un corpus de techniques qui ne s'oublie jamais ensuite, qui persiste à faire ma fécondité constamment inattendue, qui prend chacun à contre-pied.
En revanche Anne est demeurée à vie dans sa guérilla contre Georges, puis contre tout mâle sous la main. C'est bien par la jalousie de la vaniteuse vautrée et paresseuse, incapable de se mettre à la hauteur de ses prétentions, que feue ma mère a suscité tous les complots contre son fils, à commencer par celui de sa bru.
Georges est décédé, Anne est décédée, mais la continuité de la jalousie des vaniteuses est toujours là. La perversité et le sadisme se reproduisent, comme par une main invisible du diable. Tel est le contage dans la maladie mentale, dont mes enfants sont les premières victimes. Le déni de réalité qu'il suscite, est du même ordre de férocité criminelle, que le fut la réaction de la faculté de médecine de Wien contre l'asepsie, découverte en 1848 par Ignac Füllöp Semmelweis, à qui on a fait payer très cher sa découverte dérangeante : c'étaient les accoucheurs qui tuaient les parturientes, trop orgueilleux pour s'abaisser à se laver les mains.
Grâce aussi au matériel accumulé dans le
Staunisier, nous sommes désormais en mesure de combler un trou dans la nosographie psychiatrique : les charlatans.
Claude Boublil, la vedette du Staunisier, et ce qu'il reste de matriarques despotiques dans ma famille d'origine, ont en commun d'être de dangereux charlatans.
Contrairement au mythomane non pervers, qui peut éventuellement être malheureux de ses échecs, et être demandeur d'une psychothérapie, les charlatans sont incurables comme les autres pervers, ils demeurent prisonniers de leurs mensonges précédents, et s'enferment toujours plus profondément dans leurs dénis de réalité.
Voilà pourquoi la nouvelle de cette longue incarcération de Martine Boublil par son frère et d'autres complices scientologues me remue aussi profondément : moi aussi, j'ai une famille de charlatans, où les séniores (femmes) sont en dessous de tout, et dangereuses.
Est-il besoin d'ajouter que depuis qu'elle a subi toutes les manoeuvres téléphoniques et les menaces de ma soeur, ma compagne ne la supporte plus ? Initialement, elle n'aurait jamais soupçonné que les matriarques de ma famille d'origine soient des tordues à ce point, mais désormais son information est faite. Voilà : il arrive que le mensonge à répétition ne paie plus.