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Auteur Sujet: Une sainte enfilade de génocides, illustrée par JPP :  (Lu 3878 fois)

JacquesL

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Une sainte enfilade de génocides, illustrée par JPP :
« le: 06 février 2009, 10:40:59 am »
Une enfilade de génocides, illustrée par Jean-Pierre Petit :
La bible.

http://www.jp-petit.org/TELECHARGEABLES/bible/bible_feuilleton/bible_feuilleton0.htm

L'expression codée : "dévouer par interdit", ce qui en clair signifie zigouiller toute créature vivant sur le bien convoité.
Première application principale :
http://www.jp-petit.org/TELECHARGEABLES/bible/bible_feuilleton/bible_feuilleton015/bible_feuilleton015.html

Le précepte "Tu ne tueras point" est une loi purement interne, réservée aux juifs entre eux.
« Modifié: 07 novembre 2009, 11:13:58 am par Jacques »

JacquesL

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Petit génocide ordinaire, mais sacré...
« Réponse #1 le: 06 février 2009, 03:47:03 pm »
http://www.jp-petit.org/Israel_Palestine/un_genocide.htm

Citer
Livre de Josué, 8

8 : 1
L'Eternel dit à Josué : Ne crains point, et ne t'effraie point! Prends avec toi tous les gens de guerre, lève -toi, monte contre Aï. Vois , je livre entre tes mains le roi d'Aï et son peuple, sa ville   et son pays.

8 : 2
Tu traiteras Aï et son roi comme tu as traité Jéricho et son roi ; seulement vous garderez pour vous le butin et le bétail. Place une embuscade derrière la ville.

8 : 3
Josué se leva avec tous les gens de guerre, pour monter contre Aï. Il choisit trente mille vaillants hommes, qu'il fit partir de nuit,

8 : 4
et auxquels il donna cet ordre : Ecoutez , vous vous mettrez en embuscade derrière la ville ; ne vous éloignez pas beaucoup de la ville, et soyez tous prêts  .

8 : 5
Mais moi et tout le peuple qui est avec moi, nous nous approcherons de la ville. Et quand ils sortiront à notre rencontre , comme la première fois, nous prendrons la fuite devant eux.

8 : 6
Ils nous poursuivront jusqu'à ce que nous les ayons attirés loin de la ville, car ils diront : Ils fuient devant nous, comme la première fois! Et nous fuirons devant eux.

8 : 7
Vous sortirez alors de l'embuscade , et vous vous emparerez de la ville, et l'Eternel, votre Dieu, la livrera entre vos mains.

8 : 8
Quand vous aurez pris la ville, vous y mettrez le feu, vous agirez comme l'Eternel l'a dit : c'est l'ordre que je vous donne .

8 : 9
Josué les fit partir , et ils allèrent se placer en embuscade entre Béthel et Aï, à l'occident d'Aï. Mais Josué passa cette nuit-là au milieu  du peuple.

8 : 10
Josué se leva de bon matin, passa le peuple en revue, et marcha contre Aï, à la tête du peuple, lui et les anciens d'Israël.

8 : 11
Tous les gens de guerre qui étaient avec lui montèrent et s'approchèrent ; lorsqu'ils furent arrivés en face de la ville, ils campèrent au nord d'Aï, dont ils étaient séparés par la vallée  .

8 : 12
Josué prit environ cinq mille hommes, et les mit en embuscade entre Béthel et Aï, à l'occident de la ville .

8 : 13
Après que tout le camp eut pris position au nord de la ville, et l'embuscade à l'occident de la ville, Josué s'avança cette nuit-là au milieu de la vallée.

8 : 14
Lorsque le roi d'Aï vit cela, les gens d'Aï se levèrent en hâte de bon matin, et sortirent à la rencontre d'Israël, pour le combattre. Le roi se dirigea, avec tout son peuple, vers un lieu fixé, du côté de la plaine, et il ne savait pas qu'il y avait derrière la ville une embuscade contre lui.

8 : 15
Josué et tout Israël feignirent d'être battus devant eux, et ils s'enfuirent par le chemin du désert.

8 : 16
Alors tout le peuple qui était dans la ville s'assembla pour se mettre à leur poursuite. Ils poursuivirent Josué, et ils furent attirés loin de la ville .

8 : 17
Il n'y eut dans Aï et dans Béthel pas un homme qui ne sortît contre Israël. Ils laissèrent la ville ouverte , et poursuivirent Israël.

8 : 18
L'Eternel dit à Josué : Etends vers Aï le javelot que tu as à la main, car je vais la livrer en ton pouvoir. Et Josué  étendit vers la ville le javelot qu'il avait à la main.

8 : 19
Aussitôt qu'il eut étendu sa main, les hommes en embuscade sortirent précipitamment du lieu où ils étaient; ils pénétrèrent dans la ville, la prirent , et se hâtèrent d'y mettre le feu.

8 : 20
Les gens d'Aï, ayant regardé derrière eux, virent la fumée de la ville monter vers le ciel, et ils ne purent se sauver d'aucun côté. Le peuple qui fuyait vers le désert se retourna contre ceux qui le poursuivaient ;

8 : 21
car Josué et tout Israël, voyant la ville prise par les hommes de l'embuscade , et la fumée de la ville qui montait , Se retournèrent et battirent les gens d'Aï.

8 : 22
Les autres sortirent de la ville à leur rencontre, et les gens d'Aï furent enveloppés par Israël de toutes parts. Israël les battit , sans leur laisser un survivant ni un fuyard ;

8 : 23
ils prirent vivant le roi d'Aï, et l'amenèrent à Josué.

8 : 24
Lorsqu'Israël eut achevé de tuer tous les habitants d'Aï dans la campagne, dans le désert, où ils l'avaient poursuivi , et que tous furent entièrement passés au fil de l'épée, tout Israël revint vers Aï et la frappa du tranchant   de l'épée.

8 : 25
Il y eut au total douze mille personnes tuées ce jour-là, hommes et femmes, tous gens d'Aï.

8 : 26
Josué ne retira point sa main qu'il tenait étendue avec le javelot, jusqu'à ce que tous les habitants eussent été dévoués par interdit .

8 : 27
Seulement Israël garda pour lui le bétail et le butin de cette ville, selon l'ordre que l'Eternel avait prescrit à Josué.

8 : 28
Josué brûla Aï, et en fit à jamais un monceau de ruines, qui subsiste encore aujourd'hui.

8 : 29
Il fit pendre à un bois le roi d'Aï, et l'y laissa jusqu'au soir. Au coucher du soleil, Josué ordonna qu'on descendît son cadavre du bois; on le jeta à l'entrée de la porte de la ville, et l'on éleva sur lui un grand   monceau de pierres, qui subsiste encore aujourd'hui.

8 : 30
Alors Josué bâtit un autel à l'Eternel, le Dieu d'Israël, sur le mont Ebal,

8 : 31
comme Moïse, serviteur de l'Eternel, l'avait ordonné aux enfants d'Israël, et comme il est écrit dans le livre de la loi de Moïse : c'était un autel de pierres brutes, sur lesquelles on ne porta point le fer. Ils offrirent sur cet autel des holocaustes à l'Eternel, et ils présentèrent des sacrifices d'actions de grâces.

8 : 32
Et là Josué écrivit sur les pierres une copie de la loi que Moïse avait écrite devant les enfants d'Israël.

8 : 33
Tout Israël, ses anciens, ses officiers et ses juges , se tenaient des deux côtés de l'arche, devant les sacrificateurs, les Lévites, qui portaient l'arche de l'alliance de l'Eternel; les étrangers comme les enfants d'Israël étaient là, moitié du côté du mont Garizim , moitié du côté du mont Ebal, selon l'ordre qu'avait précédemment donné Moïse, serviteur de l'Eternel, de bénir le peuple d'Israël.

8 : 34
Josué lut ensuite toutes les paroles de la loi, les bénédictions et les malédictions , suivant ce qui est écrit dans le livre de la loi.

8 : 35
Il n'y eut rien de tout ce que Moïse avait prescrit , que Josué ne lût en présence de toute l'assemblée d'Israël, des femmes et des enfants, et des étrangers qui marchaient au milieu  d'eux.


JacquesL

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En sioniste dans le texte :
« Réponse #2 le: 16 octobre 2009, 09:45:54 pm »
En sioniste dans le texte :

Citer
« Nous devons expulser les arabes et prendre leur place ».
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d'Israël.


« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu'ils ne soient résignés à
vivre en tant qu'esclaves ».
Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat,
maire de Tel-Aviv, octobre 1987.


« « Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l'intimidation, la
confiscation des terres et l'arrêt de tous les programmes sociaux afin de
débarrasser la Galilée de sa population arabe ».
Israël Koenig, « The Koenig memorandum ».


« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz
Israel Ouest (toutes les terres à l'ouest du Jourdain), sans les arabes. Il
n'y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas
laisser un seul village, pas une seule tribu ».
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973.


« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »,
Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans.


Après avoir visité la Palestine en 1891, l'essayiste hébreu Achad Ha-Am a
commenté : « A l'étranger nous sommes habitués à croire qu'Israël est
presque vide ; que rien n'y pousse et celui qui veut acheter de la terre
peut aller là-bas acheter les terres qu'il désire. En réalité, la situation
n'est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre
cultivable qui ne soit déjà cultivée ».


« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n'y a personne
à qui les rendre ».
Golda Meir, premier ministre d'Israël, 8 mars 1969.


« Il n'y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n'ont jamais
existé ».
Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969.


« « Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes
éclatés contre les rochers et les murs ».
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988.


« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes ».
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n'est pas un crime
si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989.


« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui
refusant du travail. Le processus d'expropriation et de déplacement des
pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection ».
Théodore Herzl, fondateur de l'Organisation sioniste mondiale, note du 12
juin 1895.


Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l'achèvement du plan
Dalet. « Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de
bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960,
tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias.


« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de
viande, plus ils en veulent … ».
Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30
août 2000.


« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes ».
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and
the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982.


« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas
seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère
sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c'est
comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui
n'appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait
véritablement à une autre galaxie ».
Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001.


« Nous devons tout faire pour nous assurer qu'ils (les palestiniens) ne
reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront ».
David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948.


« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de
tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille ».
Raphael Eitan, chef d'Etat major des forces de défense israéliennes
(Tsahal), New york Times, 14 avril 1983.


« La thèse d'un danger d'un génocide qui nous menaçait en juin 67 et
qu'Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff,
créé et développé après la guerre ». Général Matityaha Pelet, Ha'aretz, 19
mars 1972.


« C'est le devoir des leaders israéliens d'expliquer à l'opinion publique,
clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été
oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c'est qu'il n'y a pas de
sionisme, de colonisation ou d'Etat juif, sans l'éviction des arabes et
l'expropriation de leurs terres ».
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972.


« La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l'armée
israélienne de poursuivre le combat avec l'objectif ultime qui est la
création de l'Empire israélien ». Moshe Dayan, ministre israélien de la
défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel.


« Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes. Vous
ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car
les livres de géographie n'existent plus. Et non seulement les livres, mais
les villages n'existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat
a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua
celle de tel Shaman. Il n'y a pas un seul endroit dans ce pays qui n'a pas
une ancienne population arabe ».
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha'aretz, 4 avril
1969.


« … si les gens s'habituent à cette donnée et que nous soyons réellement
obligés d'accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour
nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de
convaincre le monde qu'ils ne vivaient pas tous sur le territoire
israélien. Quoi qu'il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum
leur nombre … sinon ».
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan,
directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM
2564/22). D'après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés
palestiniens 1947-49 », p. 297.


http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html

Citer
« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce
soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans
lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays
ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait.
Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui
rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d'empêcher
cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas
dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation
et c'est pour cela qu'elle est dépendante d'une force armée. Il est
important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus
important d'être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la
colonisation.
Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du
likoud), Le Mur de fer, 1923.


« La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la
population autochtone.
C'est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la
protection d'une puissance indépendante de la population locale, tel un mur
de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est
notre politique à l'égard des arabes.
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923.


« Entre nous soit dit, il doit être clair qu'il n'y a pas de place pour deux
peuples dans ce pays. Nous n'atteindrons pas notre but si les arabes sont
dans ce pays. Il n'y a pas d'autres possibilités que de transférer les
arabes d'ici vers les pays voisins - tous. Pas un seul village, pas une
seule tribu ne doit rester.
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l'Agence juive en 1940,
tiré de « A solution to the refugee problem ».


« Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine
lorsque l'attention du monde s'est focalisée sur ce pays, pour mettre à
exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires ».
Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires
étrangères, ancien premier ministre d'Israël, s'exprimant devant des
étudiants à l'université de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam »,
du 24 novembre 1989.


« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ?
De la même façon, les arabes de Palestine n'abandonneront pas leur
souveraineté sans l'usage de la violence ».
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes
sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif »
(Jewish people or jewish problem).


« Si j'étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël.
C'est normal, nous avons pris leur pays. C'est vrai que Dieu nous l'a
promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n'est pas le leur. Il y
a eu l'antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur
faute ? Ils ne voient qu'une seule chose : nous avons volé leur pays.
Pourquoi devraient-ils l'accepter ?
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans
le paradoxe juif, p. 121.


« Nous déclarons ouvertement que les arabes n'ont aucun droit de s'établir
sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël …
La force est l'unique chose qu'ils comprennent. Nous devons utiliser la
force absolue jusqu'à ce que les palestiniens viennent ramper devant
nous ».
Raphael Eitan, chef d'Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad
Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983.


« Si l'assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux
frontières de l'armistice (frontière d'avant juin 1967), Israël refuserait
de se plier à cette décision ».
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin
1967.


« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l'Amérique
fera ceci ou fera cela …
Je vais vous dire quelque chose de très clair :
Ne vous préoccupez pas de la pression de l'Amérique sur Israël, nous, les
juifs, contrôlons l'Amérique, et les américains le savent ».
Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Péres,
cité sur la radio Kol Yisrael.


« Parmi les phénomène politique les plus inquiétants de notre temps, il y a
l'émergence, dans l'Etat nouvellement créé d'Israël, d'un parti de la
Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses
méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des
partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti
sont devenus premiers ministres ».
Albert Einstein.
Hana Arendt et d'autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New
York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en
décembre 1948.


« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat
britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les
adultes doivent s'efforcer de mener à bien : celle du Nil à l'Euphrate ».
Ben Gurion.


« Nous devons affronter la réalité qu'Israël n'est ni innocent, ni
rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs
avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de
réfugiés dans une diaspora ».
Martin Buber, philosophe juif, s'adressant au premier ministre Ben Gurion,
sur le caractère moral de l'Etat d'Israël en faisant référence aux réfugiés
arabes en mars 1949.


« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en
Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d'Hitler plutôt
que de nous ».
Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958.


« Le pouvoir légal d'Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était
voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et
à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu'ils voulaient, ou en
langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement
le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste
après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses
représentants le pouvoir d'Hitler, qu'ils utilisent de façon hitlérienne ».
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de
l'homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de
Bergen Belsen, commentant les lois d'urgence de l'armée israélienne suite à
la guerre de 1967.
Palestine, vol. 12, décembre 1983.


« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a répété sa
question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben
Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » ».
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New
York times, 23 octobre 1979.


A l'origine :

Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en
Palestine d'un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses
efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement
entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits
civils et religieux des collectivités non-juives en Palestine, ni aux
droits dont les juifs jouissent dans tout autre pays.
Déclaration de Balfour au Baron Rothschild, le 2 novembre 1917.


http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html